Projet Escape → une aventure en mobilité douce
Matériel(s) utilisé(s)
Quatre jeunes aventuriers, un rêve commun : relier le sommet de l’Europe, le Mont-Blanc, à la mer Méditerranée sans moteur, sans essence, uniquement grâce à leur énergie, leur détermination et la force des éléments naturels.
Le pari du projet ESCAPE : une expédition 100 % mobilité douce, mêlant ski de randonnée, vélo, packraft et kitesurf, pour traverser les Alpes et redescendre jusqu’à la mer. Un défi sportif, mais surtout un message engagé, une façon inspirante de montrer qu’un autre rapport au voyage est possible — plus lent, plus respectueux, plus connecté à la nature. Tout au long de leur périple, ces quatre passionnés d’outdoor ont enchaîné les disciplines avec ingéniosité, affrontant les dénivelés, les courants, les éléments, sans jamais recourir à un moteur. À travers ce projet, ils souhaitent sensibiliser à l’impact environnemental de nos déplacements et démontrer qu’il est possible de vivre des aventures intenses tout en réduisant son empreinte carbone.
Le projet ESCAPE, c’est bien plus qu’un itinéraire ou une performance. C’est une aventure humaine, portée par des valeurs de respect, de dépassement de soi et de conscience écologique. Chacun des membres de l’équipe a mis ses compétences, sa passion et son énergie au service d’une vision commune : prouver que l’on peut vivre des expériences fortes sans compromettre la planète. Tout au long de leur trajet, ils ont rencontré des habitants, des acteurs du territoire, des pratiquants de sports outdoor, partageant leurs réflexions sur l’impact du tourisme et la transition écologique. Une belle leçon d’humilité et un appel à changer nos manières de bouger, de consommer, de vivre.
Au cœur de cette aventure, une discipline : le bikerafting. Il s’agit de combiner vélo et packraft pour franchir aussi bien les cols que les rivières. Le vélo est solidement fixé sur le packraft pendant la navigation, puis l’embarcation est rangée dans un sac une fois sur la terre ferme.
Le projet ESCAPE s’inscrit dans une logique de mobilité douce, c’est-à-dire l’ensemble des modes de déplacement respectueux de l’environnement. En privilégiant le vélo, la marche, le ski ou encore le packraft, on réduit drastiquement les émissions de CO₂ tout en redécouvrant le plaisir de voyager autrement : au rythme du vent, de l’eau, du relief. C’est une manière de se reconnecter au territoire, de vivre chaque kilomètre, chaque montée, chaque traversée comme une aventure à part entière — et non comme un simple trajet.
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